• Tu le sais, depuis que je me suis expatrié pour les contrées lointaines, je prends le train au quotidien, histoire de faire chier le monde à la moindre occasion faire un geste pour la planète.

    C'est fabuleux, me diras-tu, de pouvoir croiser tant de monde au quotidien, c'est un peu comme une auberge espagnole sur rails !

    Le miracle de la vie

    Ta gueule, te répondrai-je.

    Parce que si y avait que ça, je te garantis que ça fait belle lurette que j'irai taffer en Clito, quitte à me manger 1 heure de bouchons par trajet. Parce que la SNCF c'est aussi les retards, les annulations, les difficultés d'acheminement du personnel, les feuilles mortes sur les passages à niveaux, et les noix de cajou sur les rails. 

    En plus, tu peux te faire des petites frayeurs. Ben oui parce que quand tu prends ton train à 6:40, ça implique que tu t'es levé plus tôt, le temps de te saper et de faire le trajet. Ce qui fait que t'es souvent déchiré quand ledit train arrive. Et que tu t'endors à moitié dès que t'as calé le cul sur la banquette.

    En général, le contrôleur en profite pour te réveiller en déambulant comme un gros porc dans les couloirs et en gueulant qu'il est là pour vérifier ta carte Oùra.

    Le miracle de la vie

    M'sieurs dames, contrôles des titres de transports silvouplé !

    Genre les fraudeurs prennent le train à cette heure là.

    Mais bon, y a des avantages aussi.

    Quand tu prends le train, c'est que ça te fait une excuse gratos pour prendre congé du taff, pile à l'heure. En voiture, tu peux potentiellement mettre les voiles quand tu veux, alors qu'en train, ben c'est pas toi qui décide. Et ça, on l'a bien compris.

    Le miracle de la vie

    Mes collègues abonnés SNC'OUF et moi même, à 17:00 pétantes

    C'est particulièrement utile quand ta manager commence à te demander de lui faire "un rapport sur l'audit que tu fais sur les process internes, tu pourrais pas me sortir ton fichier Excel avec 250 colonnes, mais remis en forme, genre avec une colonne sur deux en rose, et l'écriture en Windings 152 (pour que ca soit plus lisible)".

    Le miracle de la vie

    C'est l'heuuuuuuuuuuuuuuuuuure !!!

    Je suis sûr que ça te rappelle quelque chose.

    Mais généralement, elle tentera le tout pour le tout ("mais tu comprends pas, il me le faut ABSOLUMENT, y a Marie-Gneu-Gneu, la chef d'agence de Bouzon-sur-vache, qui en a besoin TOUT DE SUITE").

    Et là, tu peux mettre les choses définitivement au clair.

    Le miracle de la vie

    Nan mais je vais être en retard là

    Le pire c'est que l'autre jour, elle a insisté. Alors je te raconte comment on fait : vu qu'on part tous en même temps pour avoir le seul train qui dessert le bled, on a monté notre stratégie. Si l'un de nous est retenu par le Cerbère, les autres lui foutent une pression monstre en gueulant "viiiiiiite", "on va être à en retaaaaaaaard", ou autres "le train va partir sans nouuuuuuuus".

    Alors du coup, le prisonnier fait mine d'être mal à l'aise, et fait le forcing pour se casser. Un peu comme illustré ci-dessous : les collègues qui font le foin, et toi, en premier plan, qui fonce vers la porte comme la vérole sur le bas clergé hisoire de montrer que t'es à la bourre sévère.

    Le miracle de la vie

    LOL bisous à demain

     

    Mais y a mieux, bien mieux.

    Les gens.

    J'ai entendu des dialogues mon pauvre...

    Si t'es humoriste en mal de vannes, t'as juste à faire un aller retour en TER, et t'as de quoi rentabiliser ton trajet.

    Je te raconterai.

     

     


  • Je ne t'apprends rien en te disant que c'est bientôt la fête des mères. 

    Et que donc il est de mise d'aller racheter une bouteille de parfum, puisque ton père ne le fait pas, le rustre.

    Alors forcément, dans ces contrées (très) reculées, t'as pas 15 options. Soit tu commandes par internet, soit tu fais le déplacement. Et vu comment la facteuse est délicate avec les colis, j'ai pas trop envie d'offrir un puzzle, tu vois.

    La Maison des Horreurs

    La Pouchtière, lorsqu'elle remet délicatement son colis au client

    L'autre option consiste à se bouger le train, mais là encore, pas des masses de choix : soit tu vas à Carrouf acheter un Slutty Bitchy Water-chic, soit tu vas chez Marionnaud. Bon et vu que c'est la fête des mères, un détour s'impose.

    Déjà quand t'arrives, t'es accueilli par une vielle odeur de Alien, parfum invendu de Thierry Mugler (et qui porte son nom à merveille), parce qu'un fossile teste les parfums en se les déversant sur le poignet par bidons de 30 litres. Puis juste après, tu vois une semi-mondaine en train de demander 152 échantillons, pour sentir toujours bon lorsqu'elle ramène un inconnu dans sa nouvelle Corsa sièges imitation cuir.

    Bon.

    Du coup, tu passes en mort cérébrale en attendant qu'une vendeuse vienne t'apalguer. Mais visiblement, elles ont mieux à faire (entends "se coller des strass un peu partout sur la gueule et les ongles"). Je comprends bien que le temps de cerveau disponible est assez limité, mais bon quand même.

    Conséquence, faut aller à la source, puisque chaque année y a 200 variantes du parfum, et demander l'original, c'est plus simple que de se noyer les sinus. Tu t'adresses donc à une vendeuse par toi-même.

    La Maison des Horreurs

    Excusez-moi Madame

    Enfin du moins ce qui avait l'air d'une vendeuse, de dos. Puisque de face, tu as un doute sur le genre. Vu que c'est pas possible de demander la carte vitale pour vérifier le numéro de sécu, tu tentes ta chance en demandant le parfum sus-mentionné.

    En réponse à tes questions : "Ah ouaiiin, ben je vais vous chercher ma collèguaiiin, elle pourra mieux vous rensigner vu que c'est le rayon femmaiinnn".

    Donc il (puisque c'était un homme) (enfin je crois) va chercher une de ses collègues, qui tentait de refourguer 5 savons Roger&Gallet à une vieille, qui visiblement n'aura pas le loisir de finir le premier. Elle me fait la même tronche que si elle me présentait la météo, et je lui décrit l'objet de mes recherches.

    Gros temps de latence, mais toujours le sourire de grue qui te montre qu'il fera -15°C à Aurillac.

    La Maison des Horreurs

    Attendez je réfléchis

    C'est pas comme si ça faisait 10 ans que je lui offrais (oui ma mère ne veut pas changer de parfum, parce que les autres, ils puent), et que c'était pas la nouveauté du siècle. Vu qu'elle est même pas foutue de localiser la marque sur le présentoir, il a fallu que ce soit moi qui traine cette greluche jusqu'à destination. Et là, elle appelle une autre collègue pour savoir lequel c'est. 

    Ouaich si si, j'te jure.

    Vu qu'on était en société, j'ai dû me contenir, et me forcer à ne pas leur défoncer le crâne à grands coups de Flower by Kenzo (mais si, tu sais, cette pub où y a une grognasse qui va cueillir des coquelicots en apnée dans la Seine, qui ressort par une cheminée, et qui fait rire des gosses comme si elle venait de faire du riz au lait).

    Une demi-heure plus tard, passage à la caisse, où, tout en frisouillant le bolduc, la vendeuse m'énumère les échantillons qu'elle me refourgue comme si elle m'annonçait qu'elle me remettait le Saint-Graal. Et elle m'annonce que si je faisais 15€ d'achats en plus, je pouvais repartir avec je sais pas quelle merde. Un coup à en avoir pour encore 45 minutes. Du coup je lui fais comprendre que j'avais assez perdu de temps.

    La Maison des Horreurs

    Elle était outrée

    Vu qu'elle était pas trop ravie de la réflexion, elle a fait la gueule le temps de finir le papier cadeau.

    Et vu comme elle s'appliquait, j'aurais pas aimé être son gosse quand elle change une couche.

     


  • Franchement, n'achète jamais de chiens.

    C'est vrai qu'à première vue c'est sympa, ces boules de poils qui te rapportent une balle. En plus, les gens qui viennent te voir s'émerveillent lorsqu'ils te gerbent sur le tapis. ("Oh regarde, il a vomi, c'est trop mignon !)

    On voit que c'est pas toi qui nettoie, connasse.

    Chienne de vie

    Marche aussi pour les chats

    Parce que si tu ne le sais déjà, ton chien choisit toujours avec soin l'endroit où il va te faire une offrande, de préférence un endroit de passage, pour que t'aies plus de chances de mettre le pied dedans. Et vu que moi je me trimballe sans arrêt pieds nus, j'y ai toujours droit.

    Donc laisse moi te narrer le dernier trauma en date.

    Notes que je suis vraiment motivé, parce que ce connard de blog a décidé de faire une mise à jour au moment où j'avais fini d'écrire, et que évidemment ça avait pas sauvegardé. 

     

    Donc pour en revenir au fil du récit, figures-toi que le petit (oui, parce que y a le petit chien, et le gros) m'a salopé le tapis récemment, en gerbant allègrement sur l'affaire.

    Chienne de vie

    Voilà à quoi il ressemble. Le petit.

    Pourquoi ? Parce qu'il bouffe comme un gros morfale, et qu'il ne prend pas le temps de mâcher ses croquettes, genre j'ai pas été nourri depuis 3 semaines. 

    Chienne de vie

    A la bouffe !

    C'est d'ailleurs une de ses nombreuses spécialités. Parce que quand il ne rend pas sa bouffe sous forme d'Activia au muesli prédigéré, il pisse sur son coussin pendant la nuit. Les dernières statistiques s'élèvent à une nuit sur cinq, ce qui m'a obligé à sévir.

    Je lui ai donc collé une Pampers au cul histoire d'arrêter le massacre. T'as de la chance, je viens de retrouver la photo. Je te laisse constater.

    Chienne de vie

    Problème réglé

    Sinon, cette cochonnerie, à force de bouffer comme un chancre et d'avaler sa bouffe tout rond, me pose des troncs de baobabs un peu partout dans le jardin. Je te jure, je sais pas comment il fait.

    Et Dieu sait que c'est une véritable usine à merde.

    La nouveauté, c'est qu'il fait ça pile là où je gare la Clito quand je rentre du boulot. Et forcément, si je l'évite le matin au départ, grandes sont les chances pour que j'oublie pendant la journée et que je foute le pied dedans le soir venu.

     

    Mais bon.

    Là, je rentre du taff, et en entrant dans mon havre de paix, je constate que ça remugle sévère. Mais voyant arriver le petit avec sa tête caractéristique de lorsqu'il fait une connerie, je me suis pas demandé 4 heures ce qu'il était arrivé.

    Chienne de vie

    Gros flag'

    "T'as chié où encore ?" que je lui demande. Seule réponse, aller gratter à la porte pour sortir. Remarque, je me dis qu'il est pas con de mettre les voiles, parce que la découverte de ses cadeaux me met rarement de bonne humeur.

    Je pars donc à la chasse à la merde, et inspecte tous les endroits où il aurait pu camoufler son odieux forfait. Mais que dalle. Je vais dans la chambre et la salle de bain, mais force est de constater que ça sent pas le renard mort. Par contre, ça continue à puer méchant dans le salon. En sortant de la piaule, je vois un truc informe sous la table basse. 

    Je te raconte pas. La seule fois où j'ai été autant horrifié, c'est quand j'ai vu la coiffure de Raphaelle Ricci pour la première fois. Un Fukushima de croquettes mouillées. 

    Sur le tapis ET le sol évidemment.

    Ca sentait tellement fort que j'ai dû m'y reprendre à deux fois pour aller choper la carpette. La première fois, j'ai cru que mes sourcils allaient fondre tellement ça m'a vrillé les sinus.

    Chienne de vie

    Alerte puanteur.


    Le pire, c'est que même en arrêtant de respirer pour aller choper le tapis (puisqu'il fallait déplacer la table), l'odeur venait me chatouiller les narines, à peu près de la sorte :

    Chienne de vie

    Tiens, regarde comme ça sent bon.

    J'ai fini par réussir à replier l'affaire et à la balancer dehors. Evidemment, il en fallait aussi un peu par terre, ce qui m'a forcé à nettoyer le sol, chose qui arrive habituellement une fois par mois (tu jugeras quand t'auras des chiens). Avec pour arme la pelle et la balayette, j'ai entrepris la récolte, que j'ai allègrement foutue dans un sac plastique à mettre dans la poubelle "déchets nucléaires".

    Chienne de vie

     Quand ma mère me rend visite, ou que le petit gerbe.

     

    Tout ça pour te dire que le week end aura été épuisant. Heureusement, j'ai pas pris de coups de soleil, vu qu'il n'arrivera pas avant juin.

    Chienne de vie

    Super dodu, je n'en peux pluuuuuuuuus

     


  • Et oui vois-tu.

    Après plus de six mois de silence, je redébarque. Tout ça parce que ma boite de réception déborde de réclamations de gens que je ne connais même pas et qui se croient sur Canal+ à la demande.

    Alors ça va que j'ai des trucs à te raconter. Et plus de temps que lorsque je devais apprendre des trucs de merde pour les partiels. D'ailleurs j'ai tout plié ce matin, à peu près comme illustré ci-dessous.

     

    Rangement des feuilles dans les dossiers...

     

    Reprise du service !

    Puis classement des dossiers eux-mêmes.

     

    Reprise du service !

    Et descente d'un étage jusqu'à la poubelle jaune.

    Bref, une bonne chose de faite.

    Alors figures-toi que j'ai trouvé mon stage. Jusque là, si tu as été étudiant non-pistonné, tu admettras qu'il y a motif à chanter en Gospel et danser la Macarena jusqu'à en perdre son saoul. 

    Reprise du service !

    Moi-même, sortant de mon entretien.

    Sauf que. 

    (ben ouais ça aurait été trop beau tu penses)

    Sauf qu'on m'a laissé le choix entre Marcy l'Etoile et Bourg En Bresse. Ca fait rêver. Donc en gros, fallait choisir entre 4h de route par jour (dont 3 de bouchons pour traverser Lyon) et 45 minutes de route pour les contrées plus exotiques, vierges de tout embouteillage. Tu te doutes bien que j'ai pas étudié la question trop longtemps. Donc va pour Berk en Brousse.

    Je t'ellipse narrative les temps joyeux des exams, fruits des esprits malsains de nos profs, qui ont dû faire un concours du partiel le plus pourri de tous les temps. Et y avait du niveau.

    Reprise du service !

    Gros tacle par les profs

    Donc premier jour de joie.

    Et tu me connais, il m'arrive toujours, forcément un truc.

    Aujourd'hui c'est donc le réveil qui se propose de ne pas sonner, le con. Réveil instantané et calcul du temps restant pour arriver à l'heure. 45 minutes, soit pile poil le temps du trajet.

    Reprise du service !

    Marathon dressing / salle de bain / frigo

    Me suis bougé le cul pour m'habiller et bouffer un truc que je finirai dans la bagnole, et en 2 minutes chrono c'était torché. 

    Mais tu penses bien que ça aurait été trop simple. 

    En montant dans la Clito, je m'aperçois qu'elle a plus de gasoil, m'étant dit la veille que j'aurai surement 15 fois le temps demain. 

    Autonomie limitée, qu'elle me dit. 

    Connasse.

    Reprise du service !

    Approximation de mon état

    Alors vas-y que je vais à Carrouf, "vais mettre 10 balles dans cette merde, ca suffira", me suis-je donc proposé. Donc grand détour jusqu'à l'enseigne, où j'ai eu de la moule puisque y avait personne.

    Reprise du service !

    Arrivée en fanfare

    10 balles plus tard, je mets les voiles sur la grand-route. Et puisqu'évidemment je commençais à être à la bourre sévère, il a fallu rouler légèrement au dessus des limitations de vitesse.

    Reprise du service !

    Roule, Raoul

    Bien sûr, la route je la connaissais pas (tu crois que je vais souvent là-bas toi ?). Et vu que TomTom était pas à jour, il n'a pu me notifier des "zones de danger".

    Autant dire les radars.

    Et ce qui devait arriver, arriva. Bordel.

    Reprise du service !

    Cheese !

    M'enfin, je crois que j'étais sous les 5kmh. Je guette le courrier. So far so good.

    Chemin faisant, je constait qu'une fois de plus, le fatum s'acharnait sur moi. Donc j'arrive à Bourg-En-Bresse et déboule sur la terre battue qui fait office de parking. Avec 3 minutes de retard, j'acquiers une dextérité rare pour me garer.

    Reprise du service !

    Comme papa dans maman !

    Après les formalités d'usages avec la manager, j'ai fait semblant de m'intéresser au fabuleux historique, aux croisades contre l'ennemi Adecco et son orchestre, en prenant deux-trois notes sur mon nouveau cahier. Présentation de l'équipe, dont j'oublie les prénoms à mesure que j'avance.

    Pour me faciliter la tâche, deux doublons dans les prénoms. 

    Je préviens tout de suite que je vais me planter pendant 3 mois avant d'appeler les gens par leurs bon patronyme, histoire de mettre les choses au clair. 

    On m'apprend au passage que je suis le seul mec de l'équipe.

    Reprise du service !

    J'avais pas remarqué

    Je sens que ça va puter sévère, vu l'équipe. Je me réjouis d'avance. (Edit : je me suis pas planté. Te raconterai en temps voulus)

    Puis vas-y qu'on me montre mon bureau. Je m'inquiète un peu en voyant que j'ai déjà deux moniteurs et une oreillette pour téléphoner comme quand tu bosses au MacDrive.

    Pensant avoir trois minutes de répit, je me cale le cul sur ma chaise.

    Penses-tu. Voyant de la main d'oeuvre à exploiter, à peu près tout l'open-space s'est rué sur moi pour m'expliquer avec vigueur leurs tâches et me déposer des dossiers explicatifs.

    Reprise du service !

    Tiens, lis. Tu vas voir c'est facile.

    C'est alors qu'on m'a autorisé à allumer mon ordi, pour justement voir comment fonctionnait l'affaire. J'ai rarement vu un truc aussi moche.

    Tu te souviens des premiers ordis, avec un écran noir et une écriture blanche ? 

    Ouais, comme les minitels.

    Ben là, c'est pareil. Sauf que là, on a même du vert et du rouge. Chapeau melon l'artiste, on arrête pas le progrès. J'ai demandé si c'était un bizutage ou un truc comme ça. Mais non, c'était bien sérieux. Autant te dire qu'il faut s'adapter.

    Reprise du service !

    Tentative de familiarisation avec le logiciel.

    Sans m'en expliquer plus, on me confie une tâche et on me dit "lance-toi" (comme Uncle Ben's), sauf que là c'était le gros bide. J'ai quémandé une nano-formation à la manager, parce que vu la convivialité du machin, je te jure que j'y serais encore (la touche F14, ca te parle ?)

    Reprise du service !

    Tentative en solo

    Donc voilà qu'on m'explique à peu près comment ça marche. En fin de journée, je fais mine d'avoir compris, mais la démonstration ne porte pas autant ses fruits que je l'eus espéré. 

    Reprise du service !

    Démonstration de ma maitrise

    Après une telle journée, je mets les voiles vers une nuit de repos bien méritée. Et dire que demain, je refais la même.

    Reprise du service !

    Et j'ai pas fait de détour.





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